5 septembre 2006
Retour du pays natal
Je ne savais plus aligner des mots et exprimer les choses, mes émotions, écrire. Je croyais pourtant être fait pour ça. Je savais encore parler, balbutier sarcasmes et aboiements.
Des pans de ma vie tombèrent dans le coma... On imaginera ce qu'on voudra.
Plus sobres que le sang et les pleurs, la douleur et la peine ne coulent pas.
J'ai besoin de bras forts pour m'étreindre.
Il paraît que je suis une poupée vicieuse.
Pendant ces vacances, j'étais malheureux au pays natal.
"Car j'ai de grands départs inassouvis en moi." (Jean de La Ville de Mirmont, L'horizon chimèrique.)
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