Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
C'est moi qui... Ce sont les autres qui ne pas...
C'est moi qui... Ce sont les autres qui ne pas...
Publicité
Archives
Derniers commentaires
19 avril 2005

Mes petits amoureux

Je sens la veine de ta bite palpiter sous ma langue. Comme je devine que tu en as très envie, je te malmène un peu, et je fais de la place pour deux en te limant le cul par côté. Ton gland caresse mon palais râpeux. Je tiens la base de ta tige fermement et j'accélère le mouvement. Ma langue titille l'anneau froncé de ton anus violet. Je te lèche ainsi pendant longtemps, tu te détends bien. Te voilà prêt maintenant. Ton sexe enfle à l'intérieur de ma bouche ouverte. Mes lèvres coussins se serrent autour de ta queue. Ta bite a un goût de bite un peu sale, qui a déjà pissé dans la journée. J'entre profondément entre tes fesses. Je m'installe au creux de toi. La chaleur de ta fente enflamme mon désir. Je salive beaucoup pour te donner une sensation aquatique. Ma bave coule le long de ta hampe et sur mon menton. Je me branle en même temps. Je t'envoie une paire de claque sur les fesses afin que tu resserres ton étreinte. J'entre et je ressorts sur un rythme lent et répètitif. Mes couilles viennent frapper tes cuisses, alternativement. Ton gland est luisant comme une étoile, tu vas bientôt venir. Tendu, tendu, tendu. Tes bourses sont collées à ta verge. Mon pubis frôle ton derrière, puis s'éloigne, puis revient... Tandis que ma bite masse la bosse de ta prostate. Tu jouis par saccades, la tête renversée. Et parce que tu es très excité, un jet de foutre vient se perdre sur mon front. Le chaud de ta semence dégouline sur mes joues, comme si je pleurais des larmes de sperme. Mes mains agrippées à tes flans, je te défonce dans les grandes largeurs, si bien qu'à présent tu miaules et tu râle, tel un chaton. Tu aimes sentir mon souffle court sur ton échine, quand je viens tout d'un coup, puissament. Tu te sens heureux, rempli. Je suce ton gland gluant. A nos salives se mêle une goutte de sperme. Mon jus inonde tes entrailles. Ton ventre frémit de bonheur. Je reste encore en toi, le temps que tu jaillisses à ton tour. Je te bois avec science, en te regardant droit dans les yeux. Attentif à ton plaisir, je m'introduis doucement dans ta raie brûlante et poilue. La paume de tes mains vient saisir mes cuisses par derrière. Je t'encule en donnant d'amples coups de bassin contre tes reins. Tu es tellement cambré que ma pine disparaît tout entière dans ton cul. Ma langue tourne, enlace et mouille... Je travaille à te pomper de tout mon corps : tête, cou, épaules, torse. Je n'oublie pas de pincer tes tétons qui pointent. Tes muscles bandés dessinent tes formes parfaitement. Tu attrapes ma nuque d'une main et relève mon visage de l'autre : alors je sais que tu vas éjaculer sur ma face tes spermatozoïdes. Ton ventre acceuille le va-et-vient de mon membre viril avec candeur. Tu es dilaté comme un oeuf. La peau de ton sexe en érection est si fine qu'elle semble une membrane de soie. Je te défonce carrément. "Ma salope" dis-je, "Mon salaud", et tu comprends qu'il s'agit d'un compliment, un jeu de rôle inoffensif.

"Lorsque nous jouions ensemble, je ne demandais pas qui tu étais." (Rabindranath Tagore, L'Offrande lyrique.)

Publicité
Publicité
Commentaires
V
waaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaw tellement poetik ke je me suis cru dedans....bonne continuation
Publicité